Les 5 accords toltèques
Bonjour tout le monde,
alors aujourd'hui j'avais envie de vous parler des 4 accords toltèques 😋
Pour poser le cadre, les 4 Accords Toltèques est un livre de Don Miguel Ruiz. Il a créé également un 5ème accord récemment, donc je parlerais également mais mon intention dans cet article est de vous permettre déjà dans un 1er temps, d'appliquer les bases du bien-être intérieur. Le but de ce livre est de vous permettre de voir la vie comme un rêve et non comme un cauchemar.
alors aujourd'hui j'avais envie de vous parler des 4 accords toltèques 😋
Pour poser le cadre, les 4 Accords Toltèques est un livre de Don Miguel Ruiz. Il a créé également un 5ème accord récemment, donc je parlerais également mais mon intention dans cet article est de vous permettre déjà dans un 1er temps, d'appliquer les bases du bien-être intérieur. Le but de ce livre est de vous permettre de voir la vie comme un rêve et non comme un cauchemar.
Si je décide de porter en moi-même ces accords et de les manifester dans ma vie, alors je retrouve la paix intérieure...
1er Accord -
Avoir une parole impeccable
J'ajouterais, pour moi-même et pour les autres. Chaque fois que nous nous parlons mal, que nous nous insultons, que nous nous jugeons, que nous nous dévalorisons ou encore que nous nous limitons (je n'y arriverai jamais, je suis quelqu'un qui a besoin de l'autre pour comprendre... etc. ) nous intégrons dans notre tête, notre cœur et notre âme, ces choses, et cela a inévitablement des conséquences dans nos vies.
Chaque fois que nous communiquons, sans empathie avec les autres nous générons chez eux des doutes et de la malveillance. exemple : ma fille chante, j'ai mal à la tête et je lui dis "arrête de chanter tu chantes mal ! ". Voilà le mal est fait, peut-être qu'elle n'osera jamais plus chanter alors que cette pratique peut être une ressource chez elle pour avancer dans sa vie, lorsqu'elle est en souffrance. Le problème là-dedans c'est que la mère avait mal à la tête et au lieu d'exprimer son besoin " arrête de chanter j'ai mal à la tête", elle a dénigré sa fille...
Chaque fois que je me parle mal, je génère inconsciemment de la colère (envers moi-même créant un conflit intérieur) et envers les autres (créant une communication sans humanitude). Et la communication devient impossible ou en conflit permanent.
Chaque fois que je me dis des choses négatives je finis par les croire. Exemple : "De toute façons je ne comprends jamais rien" ! voilà c'est acté à chaque fois je conforte cette idée et lorsque dans ma vie il se passe quelque chose de particulier, eh bien ! je suis complètement démunie car je suis convaincu que je ne comprends pas.
Chaque fois que nous communiquons, sans empathie avec les autres nous générons chez eux des doutes et de la malveillance. exemple : ma fille chante, j'ai mal à la tête et je lui dis "arrête de chanter tu chantes mal ! ". Voilà le mal est fait, peut-être qu'elle n'osera jamais plus chanter alors que cette pratique peut être une ressource chez elle pour avancer dans sa vie, lorsqu'elle est en souffrance. Le problème là-dedans c'est que la mère avait mal à la tête et au lieu d'exprimer son besoin " arrête de chanter j'ai mal à la tête", elle a dénigré sa fille...
Chaque fois que je me parle mal, je génère inconsciemment de la colère (envers moi-même créant un conflit intérieur) et envers les autres (créant une communication sans humanitude). Et la communication devient impossible ou en conflit permanent.
Chaque fois que je me dis des choses négatives je finis par les croire. Exemple : "De toute façons je ne comprends jamais rien" ! voilà c'est acté à chaque fois je conforte cette idée et lorsque dans ma vie il se passe quelque chose de particulier, eh bien ! je suis complètement démunie car je suis convaincu que je ne comprends pas.
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J'ajouterais, soyez très curieux ! 😂😋
Cet accord nous permet de prendre du recul sur ce qui se joue au moment où ça se joue.
Si nous partons du principe que nous ne sommes pas dans la tête des autres, que personne n'est télépathe (sauf certains cas éminemment rares, et où le lien est quasi fusionnel avec l'autre comme un enfant et sa mère, ou un couple ensemble depuis très longtemps 😀) alors nous pouvons admettre que si nous pensons à la place de l'autre, la plupart du temps on se rate sur les intentions de l'autre et nous projetons nos peurs, nos croyances, nos limites sur lui. Exemples : les empathiques, sont souvent des personnes terriblement seules à l’intérieur d'elle-même, et elles doivent être particulièrement attentives a ce qu'elles ressentent de l'autre... souvent elles projettent sur l'autre leurs blessures... et poussés à l’extrême on entre dans une forme la manipulation, de l'autre.
Si je prends conscience de ma manie à projeter sur l'autre mes peurs, cela me permet de travailler sur celle-ci et de sortir de cet enfer du "je suis sure que... " et des schémas destructeurs qui s'y attachent.
Comment faire pour sortir de cette coutume, assez française je dois dire, qui est de penser à la place de l'autre :)
Et bien en étant curieux pour commencer.
S' il y a toujours en moi un doute sur les gens qui m'entourent ou sur la société. Des doutes sur ce que la vie est, alors je pose des questions. Si je me sens attaquer, je pose des questions, si je ne comprends pas quelque chose , je pose des questions.
Exemple : j'ai rencontré récemment un homme avec qui le courant passe bien, on est sortie 2/3 fois ensemble et la relation commence à devenir sérieuse. Un jour me voici devant mon ordinateur sur Messenger et je suis en train de discuter avec lui, à un moment donné voilà qu'il ne répond plus à ma conversation, les jours passent, je vois bien qu'il a lu ma phrase via son avatar, mais il ne dit plus rien... ça y est, je tombe dans la peur, peut être que je ne lui plais plus (référence à une peur de ne pas être aimable), peut-être qu'il ne veut plus qu'on se voit, peut être qu'il a déjà quelqu un dans sa vie... etc.
Pour sortir de cet enfer, je vous invite vraiment à lui poser la question. "Pourquoi tu ne réponds plus" ? Une question sans aucune supposition (pas ce genre de questions : Pourquoi tu me fuis ? qui pourrait sous-entendre que je suis certaine qu'il me fuit...). Parfois la réponse vous surprendra 😀😏😋
Avec le temps, et du travail personnel, nous reconstruirons notre estime personnelle, et nous ne faisons plus de suppositions car ne sommes plus en insécurité intérieure. Et nous n'avons plus besoin de poser des questions. Ne pas faire de suppositions est salvateur, si je n'y arrive pas alors pour commencer je pose des questions.
Cet accord nous permet de prendre du recul sur ce qui se joue au moment où ça se joue.
Si nous partons du principe que nous ne sommes pas dans la tête des autres, que personne n'est télépathe (sauf certains cas éminemment rares, et où le lien est quasi fusionnel avec l'autre comme un enfant et sa mère, ou un couple ensemble depuis très longtemps 😀) alors nous pouvons admettre que si nous pensons à la place de l'autre, la plupart du temps on se rate sur les intentions de l'autre et nous projetons nos peurs, nos croyances, nos limites sur lui. Exemples : les empathiques, sont souvent des personnes terriblement seules à l’intérieur d'elle-même, et elles doivent être particulièrement attentives a ce qu'elles ressentent de l'autre... souvent elles projettent sur l'autre leurs blessures... et poussés à l’extrême on entre dans une forme la manipulation, de l'autre.
Si je prends conscience de ma manie à projeter sur l'autre mes peurs, cela me permet de travailler sur celle-ci et de sortir de cet enfer du "je suis sure que... " et des schémas destructeurs qui s'y attachent.
Comment faire pour sortir de cette coutume, assez française je dois dire, qui est de penser à la place de l'autre :)
Et bien en étant curieux pour commencer.
S' il y a toujours en moi un doute sur les gens qui m'entourent ou sur la société. Des doutes sur ce que la vie est, alors je pose des questions. Si je me sens attaquer, je pose des questions, si je ne comprends pas quelque chose , je pose des questions.
Exemple : j'ai rencontré récemment un homme avec qui le courant passe bien, on est sortie 2/3 fois ensemble et la relation commence à devenir sérieuse. Un jour me voici devant mon ordinateur sur Messenger et je suis en train de discuter avec lui, à un moment donné voilà qu'il ne répond plus à ma conversation, les jours passent, je vois bien qu'il a lu ma phrase via son avatar, mais il ne dit plus rien... ça y est, je tombe dans la peur, peut être que je ne lui plais plus (référence à une peur de ne pas être aimable), peut-être qu'il ne veut plus qu'on se voit, peut être qu'il a déjà quelqu un dans sa vie... etc.
Pour sortir de cet enfer, je vous invite vraiment à lui poser la question. "Pourquoi tu ne réponds plus" ? Une question sans aucune supposition (pas ce genre de questions : Pourquoi tu me fuis ? qui pourrait sous-entendre que je suis certaine qu'il me fuit...). Parfois la réponse vous surprendra 😀😏😋
Avec le temps, et du travail personnel, nous reconstruirons notre estime personnelle, et nous ne faisons plus de suppositions car ne sommes plus en insécurité intérieure. Et nous n'avons plus besoin de poser des questions. Ne pas faire de suppositions est salvateur, si je n'y arrive pas alors pour commencer je pose des questions.
Voici le 3eme accord, il va de pair avec le 2ème.
Pour le développer un peu je dirais, que faire une affaire personnelle de tous, nous emmène lentement mais surement dans une forme de paranoïa. Je m'explique 😆😊
Pour tout prendre personnellement, nous sommes obligés de penser que l'autre fais attention à nous, que ce soit le voisin, l'amour de sa vie, l'épicier du coin, son banquier... bref en termes simples cela veut dire que nous sommes au centre de tout, soit dans une forme d’égocentrisme.
Passer son temps à tous prendre pour soi nous entraîne dans une forme de dépression car l'autre ne vit pas que pour nous, donc on est en permanence dans une souffrance. A la base si nous décidons de voir le monde comme cela, c'est lier à 2 blessures : Parce que nous nous sentons terriblement seuls, et cette manie nous permet de pensée que l'autre pourra remplir cette solitude, il est plus agréable dans la vie de se voir reconnue par quelqu'un que le contraire. La 2ème raison sera que nous avons des doutes sur notre légitimité. Exemple : Si j'ai en permanence une petite voix qui murmure "tu es nul" il est possible que je crie à qui veut l'entendre "Je suis intelligent" et en devenir prétentieux.
Prendre tout personnellement me conduit dans une souffrance, une sorte de cauchemar driver par "soi parfait". Pour changer cela, le mieux et de regarder sa blessure, est de se donner son dont on a besoin pour la soigner.
Pour le développer un peu je dirais, que faire une affaire personnelle de tous, nous emmène lentement mais surement dans une forme de paranoïa. Je m'explique 😆😊
Pour tout prendre personnellement, nous sommes obligés de penser que l'autre fais attention à nous, que ce soit le voisin, l'amour de sa vie, l'épicier du coin, son banquier... bref en termes simples cela veut dire que nous sommes au centre de tout, soit dans une forme d’égocentrisme.
Passer son temps à tous prendre pour soi nous entraîne dans une forme de dépression car l'autre ne vit pas que pour nous, donc on est en permanence dans une souffrance. A la base si nous décidons de voir le monde comme cela, c'est lier à 2 blessures : Parce que nous nous sentons terriblement seuls, et cette manie nous permet de pensée que l'autre pourra remplir cette solitude, il est plus agréable dans la vie de se voir reconnue par quelqu'un que le contraire. La 2ème raison sera que nous avons des doutes sur notre légitimité. Exemple : Si j'ai en permanence une petite voix qui murmure "tu es nul" il est possible que je crie à qui veut l'entendre "Je suis intelligent" et en devenir prétentieux.
Prendre tout personnellement me conduit dans une souffrance, une sorte de cauchemar driver par "soi parfait". Pour changer cela, le mieux et de regarder sa blessure, est de se donner son dont on a besoin pour la soigner.
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